L’histoire de Marie C., victime d’un accident de la vie privée
Ou comment passer d’un refus d’indemnisation de l’assureur à un règlement final de 615.000 €.
Les faits
Melle C. chute dans la cour de sa maison, et se casse le bras.
Elle dispose d’un contrat d’assurance « garantie des accidents de la vie » qui s’applique lorsque la victime subit une invalidité permanente d’au moins 30%.
Après plusieurs mois, la fracture de Melle C. ne consolide pas en raison d’un syndrome algodystrophique, et nécessite des hospitalisations très longues en centre de rééducation fonctionnelle, et en centre de la douleur.
Finalement, elle conserve une impotence complète de son bras.
Elle est licenciée pour inaptitude de son emploi d’auxiliaire de vie.
Véritable battante, elle engage d’emblée des démarches de reconversion professionnelle, et parvient à reprendre une activité adaptée à son handicap.
Elle élève seule sa petite fille, et éprouve de grandes difficultés à assumer seule ses rôles professionnels et de maman de sorte qu’elle a besoin d’aides extérieure pour la soulager.
Problème rencontré avec l’assureur :
Initialement, l’assureur refuse de se rendre à l’évidence que les séquelles de Melle C. seront bien supérieures au seuil d’intervention de son contrat, et par conséquent d’octroyer le moindre règlement provisoire.
Notre accompagnement
A l’issue de plusieurs expertises médicales, nous parvenons à faire reconnaître que Melle C. subit un taux de handicap de 37% accompagné de répercussions sur le plan professionnel, et d’un besoin en aide par une tierce-personne.
Sur cette base, après argumentation et discussion avec l’assureur, nous obtiendrons le règlement d’une somme globale de 615.000 €.
”Monsieur Nicolle, je tenais à vous faire de mes plus nobles remerciements. Complètement reconnaissante pour votre travail, votre dévouement et votre investissement qui nous a mené à ce résultat. Mille Mercis !
Marie C.